Madres paralelas

 Deux femmes, Janis et Ana, se rencontrent dans une chambre d'hôpital sur le point d’accoucher. Elles sont toutes les deux célibataires et sont tombées enceintes par accident. Janis, d'âge mûr, n'a aucun regret et durant les heures qui précèdent l'accouchement, elle est folle de joie. Ana en revanche, est une adolescente effrayée, pleine de remords et traumatisée. Janis essaie de lui remonter le moral alors qu'elles marchent telles des somnambules dans le couloir de l'hôpital. Les quelques mots qu'elles échangent pendant ces heures vont créer un lien très étroit entre elles, que le hasard se chargera de compliquer d'une manière qui changera leur vie à toutes les deux.

Découvrir un nouveau Almodovar est toujours un immense plaisir.  Malheureusement, cette fois, je suis resté un peu sur ma fin, tant le sujet traité sur le mode humoristique dans "la vie est un long fleuve tranquille" est cette fois la partie la moins intéressante du film.

La vraie histoire (la reconnaissance des victimes du régime de Franco) n'est vraiment abordée qu'à la toute fin du film et c'est vraiment dommage.

Restent la présence de Pénélope Cruz toujours aussi lumineuse ainsi que Rossy de Palma dans un trop petit rôle.

13/20