Qu'un sang impur
Alors qu’il n’est plus que l’ombre du guerrier qu’il était en Indochine, le colonel Paul Andreas Breitner se voit contraint de traverser une Algérie en guerre, à la recherche de son ancien officier supérieur : le colonel Simon Delignières, porté disparu dans les Aurès Nemencha, une véritable poudrière aux mains des rebelles.
Avec ce film, le réalisateur renvoie les français et les algériens dos à dos. Il n'y a pas de bons d'un côté et de méchants de l'autre. Tout le monde est méchant voire con et violent (il y a beaucoup de violence dans ce film).
La guerre d'Algérie a toujours été un sujet casse-gueule, ici aucune concession n'est faite, l'histoire est abordée de façon très frontale.
On se plait à penser que si De Gaulle avait laissé l'indépendance à l'Algérie dès le début des premiers combats en 1954, on aurait sans doute évité ces bains de sang et les répercutions que nous vivons encore de nos jours, avec ce qui se passe dans les banlieues et quartiers difficiles.
14/20
Avec ce film, le réalisateur renvoie les français et les algériens dos à dos. Il n'y a pas de bons d'un côté et de méchants de l'autre. Tout le monde est méchant voire con et violent (il y a beaucoup de violence dans ce film).
La guerre d'Algérie a toujours été un sujet casse-gueule, ici aucune concession n'est faite, l'histoire est abordée de façon très frontale.
On se plait à penser que si De Gaulle avait laissé l'indépendance à l'Algérie dès le début des premiers combats en 1954, on aurait sans doute évité ces bains de sang et les répercutions que nous vivons encore de nos jours, avec ce qui se passe dans les banlieues et quartiers difficiles.
14/20
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