L'art du mensonge
Escroc professionnel, Roy Courtnay a déjà en vue sa prochaine cible : Betty McLeish, récemment devenue veuve, dont la fortune s'élève à des millions de dollars. Dès la première rencontre entre Roy et Betty, l'arnaqueur commence par faire son numéro bien rodé de manipulateur et la veuve, visiblement séduite, semble facile à duper. Mais cette fois, ce qui avait l'air d'une simple arnaque prend l'allure d'un jeu du chat et de la souris aux enjeux de grande ampleur.
Tel est pris qui croyait prendre ! telle pourrait être la morale de cette histoire d'arnaque de haut vol. Le vieux briscard interprété de façon magistrale par Ian McKellen nous emporte dans cette escroquerie qu'il met au point avec un complice (l'excellent Jim Carter, le majordome de Downtown Abbey). Face à lui, Helen Mirren campe avec élégance une veuve fortunée qui va vite se révéler redoutable et calculatrice.
On pense très vite à l'excellent Remember avec Christopher Plummer, le dénouement étant lié à la seconde guerre mondiale. Le scénario très bien construit ne laisse aucun temps mort et on se prend à rire et à être ému par ses personnages hauts en couleurs.
Une belle réussite due en grande partie au casting impeccable
15/20
Tel est pris qui croyait prendre ! telle pourrait être la morale de cette histoire d'arnaque de haut vol. Le vieux briscard interprété de façon magistrale par Ian McKellen nous emporte dans cette escroquerie qu'il met au point avec un complice (l'excellent Jim Carter, le majordome de Downtown Abbey). Face à lui, Helen Mirren campe avec élégance une veuve fortunée qui va vite se révéler redoutable et calculatrice.
On pense très vite à l'excellent Remember avec Christopher Plummer, le dénouement étant lié à la seconde guerre mondiale. Le scénario très bien construit ne laisse aucun temps mort et on se prend à rire et à être ému par ses personnages hauts en couleurs.
Une belle réussite due en grande partie au casting impeccable
15/20
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