El Reino
Manuel López-Vidal est un homme politique influent dans sa région. Alors qu'il doit entrer à la direction nationale de son parti, il se retrouve impliqué dans une affaire de corruption qui menace un de ses amis les plus proches. Pris au piège, il plonge dans un engrenage infernal...
Sur une musique techno (un peu trop) omniprésente, le film de Rodrogo Sorogoyen nous entraîne sur un rythme survolté dans les méandres de la politique espagnole et ses combines, ses mafieux, ses sociétés écrans qui cachent le détournement organisé de fonds publics.
Au fur et à mesure que le piège se referme sur Manuel Lopez-Vidal et ses comparses, le réalisateur passe du film politique au thriller suffocant.
Antonio de la Torre qui joue ce personnage est de tous les plans et avec lui, on tremble de ce qui va lui tomber encore dessus, on se demande comment il va s'en sortir.
Performance extraordinaire pour l'acteur qui porte tout le film, dont la paranoïa est presque communicative.
Sept Goya (l'équivalent de notre César) ont été décernés à ce film, dont celui du réalisateur et du meilleur acteur. Très mérités.
16/20
Sur une musique techno (un peu trop) omniprésente, le film de Rodrogo Sorogoyen nous entraîne sur un rythme survolté dans les méandres de la politique espagnole et ses combines, ses mafieux, ses sociétés écrans qui cachent le détournement organisé de fonds publics.
Au fur et à mesure que le piège se referme sur Manuel Lopez-Vidal et ses comparses, le réalisateur passe du film politique au thriller suffocant.
Antonio de la Torre qui joue ce personnage est de tous les plans et avec lui, on tremble de ce qui va lui tomber encore dessus, on se demande comment il va s'en sortir.
Performance extraordinaire pour l'acteur qui porte tout le film, dont la paranoïa est presque communicative.
Sept Goya (l'équivalent de notre César) ont été décernés à ce film, dont celui du réalisateur et du meilleur acteur. Très mérités.
16/20
Commentaires
Enregistrer un commentaire